Tokyo tout court !

Avec du retard du au manque de wifi … en Australie, qui l’eût cru !

Et oui nous avons déjà changé de continent mais faisons un petit retour arrière car nous n’avons pas du tout fini de raconter le Japon puisqu’il manque tout de même Tokyo !!! Sans parler des excursions dans les environs.

Déjà nous avons la surprise de la visite de Claire qui a partagé avec nous une partie de ces péripéties tokyoites.
C’est donc dans la joie et parfois un peu de fatigue que nous avons partagé la culture japonaises. Cette charmante combinaison finit par donner ça :

Et donc comment on se retrouve dans cet état ? Suivez le guide c’est par ici que ça se passe.

Commençons déjà par cette mégalopole qui est assez déroutante car il n’y a pas un centre, mais plusieurs quartiers situés sur la ligne circulaire du train.
Inutile de dire qu’on y apprécie ses ambiances différentes et en même temps qu’on s’épuise vite en transport !

Mais bon soyons plus explicites avec des photos et notamment les grattes ciels du quartier d’affaires de Shinjuku dont celui inspiré de Notre Dame donnant un peu de hauteur sur la vue … ultra impressionnant (même si on regrette de ne pas voir le mont Fuji se dégager)

Ce quartier réserve également des surprises avec des espaces de vie quand le week end arrive :

Tout proche de là, le carrefour ultra connu de Shibuya, les piétons sont présents dans ce district commercial.

Et c’est aussi l’occasion pour Claire de savourer le fruit de son travail et de voir sa ligne de produit dédiée au Japon « L’occitane en provence » en vedette ! Et pour nous, de découvrir un peu le monde du cosmétique et sa place au Japon.

Le quartier de Shinjuku et Shibuya n’ont pas le monopole des grattes ciels et de la modernité. À Odaiba, à travers le monorail suspendu on prend une bonne dose de futurisme !

Pour ma part c’est l’image de Tokyo que j’avais en tête avec le quartier « geek » Akihabara, où on a testé pour vous les salles d’arcades 🙂 On a surtout jouer aux jeux ne nécessitant pas de comprendre le japonais, donc assez basiques mais qui défoule. Mention spéciale pour les rétro gaming (Bomberman, Donkey Kong, …) et oui on commence à être des vieux je crois.

Et après c’est la découverte !!

J’avais entendu parler du quartier de Cosplay (déguisement en personnage de manga, pour simplifier) donc direction Harajuku et le petit pont, lieu de prédilection… mais non il n’y a rien peut être que ce n’est que le samedi et non le dimanche. Pourtant les rues ne sont pas vides, pleins de boutiques farfelues, une liesse … Des jardins, un temple, un parc aux abords remplis de vie !

On en prend pleins les yeux et on profite de cette atmosphère dominicale.

De nom, je connaissais aussi Ueno mais sans images en tête (à part les cerisiers en fleurs, mais on arrive après la bataille).
Le jardin est agréable mais le plus intéressant reste le Tokyo National Museum qui nous plonge dans des époques lointaines.

Et puis pas très loin à pied on peut arpenter le petit quartier de Yanaka qui nous offre un contraste saisissant avec les buildings. On se croirait de retour à Kyoto ou petite ville japonaise.

Cette petite balade au milieu de maisonnettes charmantes nous montre qu’il reste un peu d’ancien à Tokyo malgré les multiples sinistres et guerre qu’a connu la ville.

Ce n’est pas le seul vestige il y a également Asakusa et son temple reconstruit à l’identique (qui attire les foules), niveau ambiance on est servi 🙂

L’éclairage sur l’architecture et l’évolution de Tokyo nous a été donné grâce au musée d’Edo. Depuis la petite cité féodale, la ville a connu : expansion, reconstructions multiples, agglomerat de plusieurs villes qui donne la complexité d’aujourd’hui.

Petit visu de l’époque d’Edo, c’est à dire la naissance de la ville :

Le palais impérial présenté dans le musée n’existe plus en tant que tel, dommage cela devait être assez exceptionnel !
On se contente de son jardin, agréable, plus difficile à apprécier sous une pluie tenace.

Et on se réfugie vite dans le musée d’art moderne, abandonnant le passé à son sort mais point de déception ici :

À ce stade là on a bien quadrillé la ville alors terminons par une petite parenthèse d’imaginaire japonais et le musée Ghibli (Totoro, Chihiro, Tombeau des lucioles, ….il y en a trop).
Réservation 3 mois à l’avance pour profiter du tout petit mais très agréable petit bout d’ailleurs. On se replonge volontiers dans l’univers, on regrette de ne pas avoir moins de 10 ans pour jouer dans le Chatbus, et on résiste même à acheter des goodies (quelle force de caractère !)

Voilà, j’espère que le contexte des photos du début d’article est plus compréhensible. Et encore il manque les excursions depuis Tokyo, mais ça c’est une autre histoire.