Alberta : into the wild

C’est en beauté que nous commençons notre découverte de l’Alberta par la route scénique menant à Jasper.

Les paysages sont juste à cueillir au bord de la route, c’est donc non mérité mais tant pis on en profite tout de même.

Au menu ce sera donc une farandole de lacs (Bow, waterfowl, buck) :

Et le chouchou (qui permet de faire croire que l’on est un bon photographe) : Peyto Lake. Tout simplement splendide, non ? Est-on toujours sur Terre ?

On saupoudre de canyon, qui permet de se s’imaginer aisément au far west.

En friandise pour terminer un glacier majestueux (même si, le pauvre, recule un peu plus chaque année à cause du réchauffement climatique):

Jasper

Si vous avez suivi c’est donc repu que nous arrivons à Jasper.
Quoi de mieux qu’un peu de sport pour digérer ?

Ce sera donc un triathlon avec dans l’ordre, natation au lac Aneth, kayak au lac Maligne, VTT au Pyramid Lake :

Et on rajoute même un petit 4 ème sport pour la route. Randonnée des 5 lacs (oui on en a mis que 4 car ils sont assez ressemblant même si chacun a eu son préféré). Lumière au top, on en ressort des couleurs plein les yeux.

Digestion faite, on peut refaire nos feignasses avec la montée en téléphérique. Sauf que l’on a oublié de mentionner qu’une brume s’est emparée de la région et empêche de bien distinguer les montagnes alentours. Nous sommes donc dans le subtil et la devinette.

(Petite flash météo, cette brume inhabituelle est due aux nombreux feux de forêts dans la région et va nous poursuivre jusqu’à la fin du séjour par vague.)

Cela dit, l’arrivée au sommet se fait dans une ambiance onirique.

Tout cela en arpentant la région sur la route, décor magnifique, voilà encore de quoi se régaler au passage :

Lake Louise (et Moraine)

Comme le titre l’indique il s’agit (encore!) de lacs. Peut être vous êtes comme nous à ce moment précis, en vous disant, que ce sera répétitif ?

Alors, oui et non. On retrouve la couleur enchanteresse (dûe aux particules des fontes des glaciers, au passage), mais le cadre est encore différent.

Zone hautement touristique (on a glissé volontairement une photo de la foule) mais point de crainte car lorsqu’on dépasse le spot photo principal, les rangs sont vite clairsemés.
Pour l’anecdote, les prix de location des canoes flambent à environ 90 euros de l’heure ! Et vous verrez ils sont tout de même pris d’assaut.

Le Lake Louise est le plus grand des 2 et le plus spectaculaire :

Petite randonnée aux alentours offrant un peu de perspective et également un salon de thé ouvert en face du petit lac Agnes.

De son côté le lac Moraine, moins impressionnant et en contrepartie plus intimiste, n’a pas dit son dernier mot.

Balade agréable au lac de consolation, toujours dans la serennité.

Banff

Si il vous reste un peu de force, on clôture ce chapitre avec la petite ville de Banff, mignonette et vous l’aurez deviné, ses alentours !

On apprend ce que sont les cheminées de fées après avoir longé un château (laissant libre cours à notre imagination), et une jolie rivière. Il faut bien regarder la dernière photo 🙂

Et notre dernière randonnée canadienne nous amène au canyon sundance, tout petit et mignon et surtout qui a l’avantage d’être accessible facilement (et oui la fatigue se fait sentir).

Dernière tentative également d’avoir un aperçu de la région, avec de nouveau un téléphérique. Malgré l’assurance que le temps était assez dégagé pour voir un peu, voilà ce que ça donne …

L’onirique est supplanté par le post apocalyptique !

C’est dans cette atmosphère de fin du monde que l’on remballe, rend la Jeep (sniff) et redécolle de Calgary.

Pour nous c’est direction USA et un atterrissage à Seattle, on vous le donne dans le mille : dans la brume !

309 Replies to “Alberta : into the wild”

  1. C’est magnifique ! Bises

  2. La couleurs des lacs sont sublimes. C’etait donc la partie du voyage chasse pêche nature et tradition lol. Bises à vous

  3. Wahou ; je suis impressionnée aussi par les couleurs !

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